Un
Procédé biologique
de Valorisation des déchets,
de Valorisation du potentiel méthanogène des matières
organiques,
de Valorisation du biogaz en électricité & chaleur
Agri-Bio-Energie, Filière de traitement biologique
des déchets organiques & fermentescibles
& de Valorisation en énergies renouvelables (6)
Ses
substrats organiques, déchets agricoles ou alimentaires
(lisier, matières végétales & graisses)
formant l’équilibre vivant de la biomasse
sont savamment combinés selon leur pouvoir
fermentescible,
leur teneur en eau & en matières digestibles, leur densité,
leur taux de protéines, lipides ou polysaccharides,
leur puissance en carbone ou en azote, en soufre ou phosphore (1)
leur potentialité méthanogène.
(1) Les
déchets organiques contiennent beaucoup
de carbone.
Les boues d’épuration des eaux usées contiennent
beaucoup d’azote.
Hermétiquement isolés, dans
un milieu biologique sans oxygène (privé d’air),
ils subissent un phénomène de digestion à l’autoclave,
suivi d’une étape de décomposition & fermentation
anaérobie
ceci grâce à la présence naturelle & active
de bactéries (2).
(6)
Article
L541-1-1 Créé par Ordonnance n°2010-1579 du
17 décembre 2010 - art. 2
«
Au sens du présent chapitre, on entend par :
Traitement : toute opération de valorisation…
y compris la préparation qui précède la valorisation;
Recyclage
: toute
opération de valorisation par laquelle les
déchets,
y compris les déchets organiques, sont retraités en substances,
matières ou produits
aux fins de leur fonction initiale ou à d'autres fins.
Les opérations de valorisation énergétique des déchets,
celles relatives à la conversion des déchets en combustible
et les opérations de remblaiement
ne peuvent pas être qualifiées d'opérations de recyclage
;
Valorisation
: toute opération dont le résultat principal
est que des déchets servent
à
des fins utiles en substitution à d'autres substances, matières
ou produits
qui auraient été utilisés à une fin particulière,
ou que des déchets soient préparés pour être
utilisés à cette fin, y compris par le producteur de déchets » ;
Article R.543-226 : dispositions diverses
« Valorisation organique
Il importe ici de se référer à l’esprit
du texte de loi,
qui vise à ce que la valorisation des biodéchets se fasse
en conformité avec la hiérarchie des modes de traitement
des déchets
spécifiée à l’article L.541-1du code de l’environnement.
C’est le retour au sol des biodéchets,
habituellement après compostage ou méthanisation,
qui constitue le mode le plus fréquent de valorisation organique »
Leurs
particularités : elles sont des êtres vivants ;
elles appartiennent à différentes familles, vivent
en colonies ;
leur vitesse de croissance est lente. Elles ont besoin de temps
pour s’acclimater.
Sensibles & vulnérables,
elles aiment la constance & les
passages en douceur
(dans l’ajout des « rations » par
exemple).
Elles détestent les chocs thermiques
&
un excès d’Acides Gras Volatils (AGV) ou d’ammoniac.
Leur « déploiement d’énergie » :
elles transforment des substrats organiques complexes à longue
chaîne carbonée
en molécules simples à un seul carbone : méthane & dioxyde
de carbone.
Par ce déploiement d’énergie ou « travail » chimique,
elles produisent du biogaz, de la bioénergie.
Leur « psychologie » :
leur activité est « freinée »
par une trop forte présence de protéines dans leur
menu.
Cette inhibition a pour conséquence une baisse de leur production
de biogaz.
Leur
régime alimentaire ou ration scrupuleusement raisonnée :
elles apprécient un menu équilibré composé
de lisier pour l’apport en eau,
de matières végétales (les ensilages) pour les « sucres
lents »,
de graisses ou céréales pour les « sucres
rapides ».
Certaines exigent du nickel pour se développer.
Leurs
conditions énergétiques :
leur longévité & leur
efficacité au « travail »
dépendent
de l’expertise de l’opérateur & du biochimiste.
Ils doivent maîtriser
une parfaite connaissance des substances qu’elles digèrent
(substrats organiques),
un calcul scientifique de l’équilibre
de leurs doses alimentaires.
De
là découle l’optimisation
de la transformation biologique,
de la production énergétique & la durabilité du
processus.
Portrait & vie des bactéries »
présentés par Loïc Chaise, biochimiste & méthaniseur
Complément d’enquête : d’où viennent-elles ?
de leur vie dans les marais ou les rizières,
de leur vie confinée dans le tractus digestif des termites
ou ruminants.
Grâce à leurs
qualités énergétiques ou potentiel méthanogène,
résidus végétaux, restes de céréales,
CIVE ou intercultures,
effluents d’animaux (fumier ou lisier), boues,
matières sèches des exploitations agricoles
(déjections animales + co-substrats),
boues des stations d’épuration
huiles ou graisses agroalimentaires
& déchets verts des collectivités
sont sources inépuisables d’énergie.
Issue
de ce qui pousse & de ce qui vit,
cette matière organique
forme une Biomasse valorisable,
gisements d’énergies renouvelables
pour Agri-Bio-Energie
qui vous associe à ce geste éco-responsable.
Déchets valorisés = un investissement bénéfique pour votre entreprise.
sont
pris en charge par Agri-Bio-Energie
Vos sous-produits agricoles ou déchets végétaux sont méthanisés.
Vos
substrats organiques sont les intrants dans notre production énergétique.
Avec Agri-Bio-Energie, vous êtes co-acteurs d’énergies
renouvelables.
De
la biomasse à la bioénergie
Ce
flux de matières organiques
est introduit dans un cycle de valorisation
positive :
un traitement biologique équivalent à un principe de « digestion » ;
une transformation naturelle comparable à une fermentation ;
une conversion en biogaz chargé de méthane.
Ces
différentes étapes sont le résultat sophistiqué et
néanmoins naturel
d’un processus de méthanisation
qui convertit les sous-produits organiques
en énergie naturelle & renouvelable,
en bioénergie ;
plus écologique & économique que
les énergies
fossiles ;
alternative éco-responsable
qui permet d’économiser
d’autres ressources naturelles.